If you've ever used (online) machine translation software, you may have noticed how much it has improved over time: faster, smoother, more accurate… This dazzling progress and ease of use should not, however, blind us to the many limitations of collective (and artificial) intelligence: decent translations at first glance, but actually riddled with errors, impoverished language, confidentiality issues, and more. In this article, I attempt to demonstrate, in a non-confrontational and well-cited way, why AI should not be considered a mere substitute for human translators and why any "blind" use of the machine should be avoided.
Category: Brainstorming
La variante du français parlée en Belgique est encore souvent un mystère pour le reste du monde. Tentative d'éclaircissement.
Specializing makes it possible to stand out from the competition by having something *special* to offer.
La question de la spécialisation en traduction est un sujet récurrent, en particulier chez les jeunes diplômés. Billet sous forme d'entretien en sept questions, pour comprendre le pourquoi du comment.
L’arrivée de la traduction automatique neuronale (NMT) a provoqué en 2017 une mini-onde de choc dans le monde de la traduction professionnelle.
Faut-il « être belge » pour bien traduire un auteur belge ? L’idée qu’on se comprendrait mieux entre compatriotes relève de la caricature. Car la traduction suppose avant tout cette qualité universelle qu’est l’empathie...
Popularisé en 2014, le terme est aujourd’hui bien ancré dans notre vocabulaire. Désignant une forme d’optimisation des relations entre l’offre et la demande sous l’influence des nouvelles technologies, l’« ubérisation » recouvre plusieurs réalités et connotations, tantôt positives, tantôt négatives, et déchaîne les passions. Les chantres de l’économie 2.0 saluent l’apparition de ce qu’ils voient comme un … Continue reading La traduction, proie facile de l’ubérisation?